kalli-graphic

Depuis mon acquisition d’un Reflex numérique, ma vie a changé. Si, si ! Tous les paramètres sont réglables, je ne connaissais pas cette liberté avant. A première vue, c’est très compliqué. Et à deuxième vue aussi, en fait ! L’apprentissage passe à 90% par la pratique. Comme je dispose de beaucoup de temps, en ce moment, j’ai pu commencer mon instruction, et j’aime ça !
Mais les 10% restant, je les ai trouvés dans les livres. Bien avant de passer au Reflex, j'ai commencé à me documenter auprès des plus grands : le National Geographic. Leur collection de livres traitant de la photo est très intéressante. Pour ma part, je me suis laissée tenter par leur "Guide pratique de la photo", et 3 autres en découlant : "Portraits et personnages", "Paysages" et "La photographie noir et blanc".
Un autre ouvrage pratique, "La photographie numérique" de Scott Kelby. J'ai beaucoup appris de tous ces livres, mais l'essentiel n'y est pas : ils ne donnent pas la passion.
J'ai remarqué que mes meilleures photos étaient celles de sujets que j'aime et que je voulais absolument mettre en valeur. Pour moi, c'est le seul secret. Henri Cartier-Bresson l'a dit : "Photographier c'est mettre sur la même ligne de mire la tête, l'œil et le cœur.". Édouard Boubat ajouterait un élément intéressant : "Les photographies que nous aimons ont été faites quand le photographe a su s'effacer. S'il y avait un mode d'emploi, ce serait certainement celui-là."
Je viens de créer un album sur ce blog, dans lequel j'ai mis mes photos préférées...
Mais finalement, comment vient-elle, cette passion ? Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé ça. J'aime l'image en général, en fait. Bah oui, tiens, peut-être pour ça que je suis graphiste alors ! ; )

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Pour débuter mon activité de graphiste freelance, j’ai choisi la voie de la sous-traitance : je fais le travail que les agences de communication n’ont pas le temps de faire. Enfin, pour résumer. Chaque cas est différent. Il y a celles qui souhaitent proposer à leurs clients des compétences qu’elles n’ont pas, et qui ne souhaitent pas embaucher. Il y a celles dont un employé est absent et qui ont une urgence. Et donc, celles qui n’ont pas le temps de réaliser un travail pour lequel elles se sont engagées. Les aléas de la vie, quoi… Pour moi, le fait de travailler avec des agences, et non pas avec des clients « directs », présente de multiples avantages : les agences connaissent les tarifs, il n’y a donc pas à négocier (en général) ; les agences connaissent les contraintes des missions qu’elles me proposent, donc pas besoin d’expliquer comment fonctionne un ordinateur… En Corse, il y en a bien plus qu’on ne peut le penser. J’ai été surprise, mais j’ai trouvé 35 agences ou assimilés à qui proposer mes services. Maintenant, il n’y a plus qu’à attendre leurs réponses !

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Les fêtes de fin d'année sont là, et il y a un million de choses auxquelles il faut penser : les cadeaux, le sapin, la bûche, les chocolats... et les cartes de vœux ! Et comme l'écologie est une préoccupation devenue capitale ces dernières années, pourquoi ne pas envoyer des vœux écolo ? J'entends par là des "e-cards", cartes électroniques. Pour apporter ma pierre à l'édifice, je vous propose 3 cartes "virtuelles" à télécharger ici, ici, et là, que j'ai créées rien que pour vous ! (Faites un clic droit, et "Enregistrer l'image sous..."). Ensuite, vous n'avez plus qu'à l'insérer dans votre e-mail !

J'espère que vous trouverez votre bonheur parmi ces trois modèles.

J'en profite pour vous souhaiter d'excellentes fêtes de fin d'année, sous la neige (c'est trop beau !).

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Il y a quelques semaines, j'ai soumis ma carte de visite au très sérieux site CardObserver, une galerie de cartes de visite. Et ce matin, dans ma boîte mail, l'heureuse nouvelle : ma carte a été acceptée et est visible sur leur site ! C'est LA bonne nouvelle du jour, je suis vraiment très fière.

J'espère continuer sur cette voie ! Je n'étais vraiment pas sûre du sort que l'on réserverait à ma carte, sur ce site. En général, c'est vraiment très difficile d'y faire accepter son travail, qui doit être irréprochable pour cela. C'est ma première apparition sur un site international, d'une telle envergure.

Et vous ? Avez-vous déjà été sélectionné par ce genre de site vitrine ? Quelles conséquences (positives ou négatives) cela a-t-il eu ?

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Et voilà, mon premier bébé-communication, Occaz'Center, n'a plus besoin de moi maintenant ! La dernière touche vient d'être apportée, à savoir l'enseigne du dépôt-vente. Merci à Martial, à qui j'ai volé cette photo sur facebook et pour m'avoir offert l'occasion de réaliser ce travail... dont je ne suis pas peu fière !

Le dépôt-vente Occaz'center se trouve à Porto Vecchio, rue du Maréchal Juin.

Pour le reste, je n'oublie la refonte de mon site. Ca avance doucement mais sûrement !

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La voilà ! J'en suis bien contente, parce que, comme pour le site Internet, c'est pas facile de faire ça pour soi-même... Alors je suis allée au plus simple, sans me poser trop de questions.

J'ai utilisé du vernis sélectif pour ce qui est de mes domaines d'activité, afin de donner plus d'importance au fait que mon entreprise soit "juste moi", et pas une grosse machine dépourvue d'humanité dont le seul but serait de traire ses clients jusqu'à la dernière goutte... ; )

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Je m'attaque à un gros dossier. Le plus difficile qui soit, celui qu'on aimerait que quelqu'un fasse à sa place, quand on est graphiste. Je vais refaire mon site, kalli-graphic.com. Pourquoi si difficile ? Parce que quand c'est pour soi-même, on n'a pas le recul nécessaire. Forcément, on veut que ce soit tellement parfait, tellement "nous", tellement... Alors on y pense beaucoup trop. Donc cette fois, je vais essayer de prendre ce "dossier" aussi froidement que n'importe quel autre. C'est juste le site Internet d'une graphiste qui a un peu plus à y dire que sur la mouture précédente. Alors, tout simplement, mettre sur papier quelles sont les rubriques présentes, quels contenus doivent apparaître à quel endroit, tout en gardant en tête les contraintes techniques et d'ergonomie habituelles (par exemple, ce que je veux montrer en premier sur une page ne doit pas aller sous les 650 pixels en hauteur).

Parallèlement à cet ouvrage, je continue ma papeterie : maintenant que j'ai la carte de visite, il me faut aussi le papier à en-tête et une facture-type (celle utilisée jusque là n'est vraiment pas digne d'une graphiste... beurk beurk !!!).

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Kalli-graphic aka florambrosini a maintenant sa page sur THE réseau social, l'incontournable Facebook ! Pour y accéder, c'est par ici.

Le débat est souvent vif autour des réseaux sociaux. J'ai choisi d'y être, car je trouve cela absolument extraordinaire : c'est la première fois, dans l'histoire de l'humanité, que vous pouvez contacter une personne à l'autre bout du monde (ou au coin de la rue) aussi simplement, et directement. Que ce soit Facebook, Twitter ou Linkedin, des millions de personnes à travers la planète sont à portée de clic. En ce qui me concerne, j'utilise ces sites à moitié pour le boulot, et à moitié perso. Et je n'ai jamais eu aucun problème de confidentialité, pour une bonne et simple raison : je ne mets que les informations que je veux bien que l'on voie ! Je trouve qu'il n'y a même pas lieu de critiquer le traitement des données confidentielles, car il est de la responsabilité de chacun de faire attention à ce qu'il diffuse.

Et vous, comment utilisez-vous les réseaux sociaux ?

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Après l'émotion de la découverte de mon logo en pleine rue bastiaise, j'ai aujourd'hui la joie de voir ma dernière création web complimentée dans le journal local ! En effet, le Corse-Matin a dédié l'un de ses articles à la nouvelle boutique de mon cousin Martial, Occaz'Center, à Porto Vecchio. La journaliste, Nadia Amar, y parle d'un site "particulièrement bien conçu, pratique". Sa mise à jour est assurée par le blog occazcenter.canalblog.com.

L'impact d'une telle publication se vérifie quasi instantanément : plus de 100 visiteurs sur le blog d'Occaz'Center rien qu'aujourd'hui, contre une moyenne de 5 en temps normal. Mon portfolio a également profité de cet éclairage, avec une quarantaine de visiteurs dans la journée, soit 10 fois plus qu'à l'accoutumée.

Il n'y a plus qu'à espérer que cela durera plus longtemps qu'un feu de paille, et que le dépôt-vente de mon cousin sera vite dévalisé !

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J'ai récemment rendu visite aux heureux propriétaires de la librairie "Les Deux Mondes", à Bastia, dont j'ai créé le logo. Cela fait toujours plaisir de voir son œuvre dans son environnement final ! Les apostrophes du logo ont été reprises dans la déco du magasin, s'affichant fièrement sur les murs blancs.
Créer un logo, c'est ce que je préfère. C'est le travail qui demande le plus de réflexion, de créativité, d'originalité. Un logo est l'image de l'entreprise, une image qui doit être facile à retenir, à identifier. Il y a aussi la part technique : le logo doit être utilisable en noir & blanc et rester lisible même en tout petit.
Il existe 3 types de logos :
- Le logo "texte" : tout est dans la typographie. Aucun symbole, aucune illustration, uniquement le nom de la marque / entreprise.
- Le logo "image" : plus rare, sans doute, et le plus souvent dérivé d'un logo contenant le nom de la marque (ce qui a été fait pour "Les Deux Mondes" : les apostrophes peuvent apparaître seules).
- Le logo "texte+image" : vous l'aurez compris, un symbole accompagne le nom de l'entreprise, en en renforçant la signification, ou en expliquant le domaine de ladite entreprise.

Voici ce que m'en a appris Dominique Zamboni, à l'époque mon prof de beaucoup de choses à la Fac de Corte :

Le logotype est le nom d’un site Internet, d’une entreprise, d’un commerce, d’un produit ou d’une marque dont le graphisme s’inscrit aisément dans la mémoire, permettant ainsi de mieux en fixer le souvenir.

La création d’un logo dépend donc de 3 facteurs :

    * L’originalité
    * L’expressivité
    * Le pouvoir de fixation du souvenir

Le logo est l’abréviation du mot logotype qui signifie « l’empreinte de la parole ».
A l’époque romaine, les bâtisseurs inscrivaient déjà sur les pierres ou les briques leurs logotypes. Ces inscriptions servaient vraisemblablement à tenir une comptabilité du travail effectué et ainsi payer les ouvriers. Il est utilisé actuellement de façon générale pour désigner une marque, un pictogramme, un monogramme.
Dans les années 50, l’apparition généralisée des logo associe de façon synthétique la lettre et l’image.
Comme le graphisme et la gestuelle d’une signature caractérisant une personne, le logo identifie une entreprise (valable aussi pour un site Web). Celle-ci est alors assimilée à une personne, le logo en est sa signature, son identifiant visuel.
Il figure sur tout document administratif, catalogue, signalétique, packaging…
Les différentes déclinaisons sur des supports variés renforcent son impact. C’est à la fois un des vecteurs de communication interne à l’entreprise et de communication externe.
C’est lui qui constitue l’élément de base du système d’identification.
Il doit faire transparaître la personnalité de l’entreprise, les qualités de ses services ou de ses produits.
Un bon logo, pour être efficace, doit être simple, lisible, expressif, et mémorisable facilement. Il n’échappe pas, bien sûr, à la mode, c’est-à-dire aux codes visuels contemporains, bien au contraire, il s’y inscrit parfaitement.

Si vous avez des conseils à ajouter concernant la création de logos, laissez un commentaire !

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